Le chemin synodal fait à Saint-Paul raconté ci-dessous peut rendre compte d’un chemin synodal que chacun·e peut faire.
Nous invitons toutes les personnes qui nous lisent de nous rejoindre dans cette recherche critique de notre foi.

Dimanche 9 janvier

Nous nous sommes demandés « quels sont les sujets sur lesquels nous souhaitons échanger ? »

Dimanche 16 janvier

Nous avons lu les réponses :

Y a-t-il des soirées de prière à l’église ou d’études bibliques ?

Homélies par d’autres – être appelant davantage encore

Que l’on enlève ces stupides masques qui ne servent à rien et qui nous empêchent de prier correctement

Conversation/rencontre avec les personnes dans la frontière à cause de mariage, pauvreté ou autres raisons

Pourquoi les messes se ressemblent toutes ?

J’aime l’accueil de l’église, les heures d’ouverture, merci

Comment ouvrir notre Eglise aux non-croyants ? Que proposer aux non-croyants ?

Il serait bien d’organiser des voyages vers des sites religieux tels que Paray-le-Monial, Lourdes… Je pense qu’il serait bien d’avoir un groupe de jeunes (+ 18 ans) où on partage nos vies étudiantes ou vie de tous les jours

Mettre en place une messe matinale le dimanche – Faciliter l’accès au sacrement de réconciliation (permanence aux horaires fixes)

Comment faire goûter la joie de la prière et la force de Jésus dans le monde suractif et matérialiste de notre époque ? – Oser proposer Dieu et Jésus-Christ comme ligne de vie et changement dans nos vies – Aller vers ceux éloignés de la foi – Ouvrir nos églises et nos messes à des étrangers peu habitués à y entrer

Un engagement plus suivi pour les jeunes adolescents comme jeunes adultes – Et plus de campagne concernant l’écologie

Plus d’activité pour les jeunes comme les chants, des talents

Comment trouver la sagesse ?

La place et la visibilité des veuves dans chaque paroisse – Visibilité des laïcs consacrés, surtout les femmes – la messe des jeunes instaurée dans chaque paroisse – le renouveau charismatique

Y a-t-il possibilité d’avoir le catéchisme pour nos enfants à St Paul ? – est-ce qu’il y a des retraites ? – la connaissance des paroissiens !!

Comment faire pour améliorer la participation des jeunes

Qu’il y ait plus d’échange entre nous

Plus de place pour les sacrements : adoration euchatistique, messes, confessions, sur des créneaux plus réguliers la semaine et le week-end

Rencontre des personnes qui sont seules, pouvoir échanger, discuter, aider si besoin

L’évangélisation dans la rue de tous les jours, comment parler de sa foi dans un environnement non croyant (travail…) ?

En tant que jeune, comment se mettre au service de l’église en cette période où de plus en plus de gens quittent l’église pour diverses raisons ?

Echanges entre différentes paroisses de la Plaine ? – Messes en commun ? – Temps de retrouvaille ? – Echanges avec des paroisses de villes voisines ?

Comment notre belle communauté, nourrie par le Pain, la Parole, l’amitié entre nous se met-elle au service de tous ceux qui, en particulier autour de nous à St Denis / Aubervilliers, souffrent, galèrent, sont exclus ? Comment faire pour ne pas garder pour nous le don reçu et le porter ensemble vers ceux qui en manquent ?

J’aimerais bien que nous ayons dans la communauté des actions ensemble vers les malades, les pauvres, les exclus – j’aimerais aussi des temps de contemplation eucharistique ou sur un thème de société suivi d’un temps de contemplation une fois par mois peut-être

Pour l’Avent, on pourrait – l’année prochaine – organiser des temps d’animation pour les enfants (contes de Noël, ateliers d’activités manuelles, ateliers cuisine, chorale…)

Appeler Juan au diaconat permanent ?

Jeunes

Violences sexuelles commises par les prêtres – qu’est-ce qui est fait pour que cela ne se reproduise plus et ne soit plus couvert par le clergé ???

Vivre des temps de louange et d’adoration – partager des moments d’échange sur des thèmes de la vie spirituelle – inventer de nouvelles manières de faire corps avec la communauté, avec le quartier – avec les autres églises (rencontres, prières ?)

L’amour entre humains sans distinction de race ou de niveau social. la solidarité, l’entraide, que les plus chanceux de la vie soient aptes à accueillir les autres dans le besoin. hébergement, besoins des premiers niveaux, … Que Dieu nous bénisse tous

Dimanche 23 janvier

Une petite équipe a proposé cinq thèmes, à partir des réponses :

Prier et célébrer

Qu’est-ce qui vous aide pour prier et célébrer ?

Qu’est-ce qui vous manquerait pour prier et célébrer ? Comment ouvrir à d’autres ?

Est-ce que vous aimeriez des temps d’échange ou de formation (exemples) ?

Les jeunes dans la communauté

Quels seraient les temps que vous, jeunes, aimeriez-vous vivre (sorties, réunions, messe des jeunes…) ?

Qu’est-ce que vous sentez que vous pouvez apporter à la communauté dominicale ?

Quelle place sommes-nous prêts à faire aux jeunes dans notre communauté, nous les plus anciens ?

Les « autres »

Il y a la communauté, et « les autres » : qui sont-ils ? A qui nous voulons faire attention ?

Alors nous, quel service, quel accueil pouvons-nous offrir ? prendre quelles initiatives ? de quelle manière ?

L’Eglise est-elle malade ?

Les abus sexuels, de quoi s’agit-il ?

Qu’est-ce que cela nous a fait d’apprendre ces faits ? quels sont nos sentiments ?

Que voulons-nous que notre Eglise fasse, envers les victimes, et par rapport à elle-même ? Et nous ici à St Paul ? Quelles bonnes pratiques envers les enfants ?

L’autorité dans l’Eglise, dans notre communauté ?

Est-ce que dans notre communauté il y a de la place pour prendre la parole ? Est-ce que nous le souhaitons, est-ce que nous l’osons ?

Les initiatives : nous souhaitons ? nous pouvons ? nous osons ?  nous semblent-elles facilement acceptées ?

Dimanche 6 février

Nous abordons le point « Prier et célébrer », une première fois.

 

Ce qui nous aide, c’est le groupe de chants. Pourquoi pas des chants en langue, selon les cultures de certains ? – Soirées de louange

Ce serait bien des groupes de parole – Sur la vie de couple, pour les jeunes mariés, sur la parentalité – Pour nous aider à cheminer.

Une aide, les enseignements.

Un chant priant, aussi, et aussi la diversité.

On pourrait suggérer des temps d’adoration, même la nuit.

Inviter d’autres ? mais, comment faire ?

Que l’homélie soit aussi prise en charge par un couple, ou une personne de la communauté.

Avoir une chorale pour les enfants – Et aussi des enfants de chœur.

Faire un temps de formation pour les gestes de la messe, qu’on ne comprend pas toujours – [pour la vie spirituelle]

Déjà, la communauté prie – un petit groupe – le jeudi soir, et le 3è samedi pour le chapelet.

Découvrir des chants, en privilégiant la participation des jeunes.

Des temps d’adoration.

Pour s’ouvrir à d’autres : venez au footing du dimanche ! Lieu d’échanges fraternels et sympathiques.

Avoir un groupe de jeunes pour animer les messes, et pour partager.

Le fait ne pas connaître les personnes qui prient avec moi et autour de moi, ne m’aide pas à bien prier : comment faire connaissance à l’occasion des messes ?

Les messes sont trop statiques, bouger pendant la messe peut aider à prier (processions, etc.), et à rencontrer de nouvelles personnes (changer de place ?).

Avoir dans l’année des temps d’échanges, de célébrations œcuméniques avec des protestants, des orthodoxes…

 

Dimanche 13 février

Nous reprenons le thème « Célébrer et prier »,

en nous répartissons en quatre groupes :

 

Groupe « chanter à la messe » (animation : Juan)

Une chorale d’ici avec des gens d’ailleurs aussi (une messe par mois).

Améliorer les temps de procession avec des chants de différents pays.

Répéter les nouveaux chants sur plusieurs messes.

Des chants variés : méditatifs et entrainants.

Une chorale des enfants.

Aux grandes fêtes, inviter d’autres personnes à préparer la liturgie.

Groupe « des groupes de parole » (animation : Sophie)

  • Il y a des sujets importants dont nous devons parler en communauté, ou dans des groupes de parole :

La famille (cf le synode sur la famille)

Les lois bioéthiques récentes (PMA, …), et l’évolution de la société

Les abus sexuels dans l’Eglise

La solitude

Comment s’en sortir ?

–          Pourquoi est-ce important de se retrouver pour en parler ?

Nous voulons connaître la position de l’Eglise sur ces sujets (que nous dit l’Eglise ?) : pas forcément pour adopter personnellement cette position, mais pour la connaître et pour en parler.

Quelle est la position de chacun sur ces sujets ?

Comment éduquer nos enfants dans le contexte actuel ? Comment être parents aujourd’hui ? Nous avons besoin d’en parler.

Parler ensemble permet aussi d’agir, dans un second temps.

Par exemple : Agir = former, informer, sensibiliser.

A l’Eglise, on rencontre d’autres personnes : se rencontrer dans des groupes de parole, c’est une façon de nous aimer, d’entrer en relation avec les autres.

Groupe « mieux nous connaître » (animation : Catherine)

Porter des badges avec nos prénoms.

Rappeler le pot du premier dimanche du mois (quelqu’un n’était pas au courant).

+ le footing chaque dimanche matin.

Faire des repas conviviaux, dans la salle ou en plein air (pique-nique au parc de la Courneuve à renouveler ?).

Organiser une fête paroissiale, avec des stands, des danses…

L’organisation spatiale de l’Eglise (bancs les uns derrière les autres) n’aide pas. Pourquoi pas mettre l’autel au centre de la nef ?

Donner la parole à des personnes qui le veulent bien pour partager des choses sur leur vie (ex de l’homélie par Xavier et Anna, à reproduire sous cette forme ou autrement).

Avoir, quelques fois dans l’année, un moment pour échanger avec ses voisins de banc pour se présenter (en début de messe…). En effet, on voit des têtes tous les dimanches, sans savoir qui c’est…

Partages autour des textes bibliques au moment de l’homélie (à refaire ?).

Prière universelle avec des intensions libres qui viennent de l’assemblée, pour permettre l’expression des gens, en lien avec ce qu’ils vivent, ce qu’ils portent.

Avoir un groupe de personnes chargées de repérer les nouvelles têtes et d’avoir le souci d’aller vers elles pour les accueillir ? Quelqu’un pense que c’est le rôle du « curé ». Leur demander de se présenter à l’assemblée ?

Attention à ne pas se montrer trop intrusif : il y a peut-être des gens qui n’ont pas tout de suite envie qu’on leur mette le grapin dessus. Comment estimer la part des gens qui sont en attente d’une dynamique communautaire et la part de ceux qui viennent pour prier mais ne souhaitent pas – pour le moment- tisser des liens avec d’autres ? (facteur temps à prendre en compte).

Importance d’avoir une communauté fraternelle, mais tout en demeurant ouverts aux nouveaux venus (demeurer inclusif, et laisser chacun libre).

Groupe « des temps d’adoration » (animation : Antoine)

Exposition du Saint Sacrement une fois par mois, pas forcément la nuit.

Avoir un créneau hebdomadaire. Cela deviendrait alors une habitude, quelque chose qui s’ancre dans la vie.

Possibilité de passer prendre un café et d’en profiter pour une adoration, entre 12h et 14h et à d’autres moments, en soirée.

C’est un cœur à cœur avec Jésus, un moment d’intimité avec Jésus. Un temps dédié pour la prière silencieuse. La méditation n’est pas la même quand il y a exposition ou seulement le tabernacle fermé. Un beau moment, temps de gratuité pour offrir sa semaine…

Il peut aussi y avoir adoration chantée (pas uniquement silencieuse).

Un beau signe pour inviter le quartier : donner à voir des gens assis dans l’église sans que rien de particulier ne se passe…

Possibilité de filmer pour transmettre sur Internet : donner à voir et vivre ça soi-même à diastance.

Les mercredis et vendredis midis, après la messe : moment favorable ? On pourrait profiter de la présence d’un prêtre.

Pouvoir échanger à la fin de l’adoration sur ce qui a été vécu pendant l’adoration.

Être attentif à avoir une offre diversifiée en horaires (midi, fin de journée, début de soirée : avant 22h…) et en style (silencieux, musical, chanté…).

Dimanche 6 mars

Ce dimanche, nous abordons le thème « Jeunes dans la communauté »

Pour donner une place aux jeunes de la communauté, nous leur donnons la parole. Voici les souhaits qu’ils expriment :

Se retrouver entre jeunes, pour des méditations (…), des journées entre jeunes.

Des temps de réflexion, des temps « bibliques ».

Prier ensemble.

Des soirées de louange entre jeunes, avec des chants, des danses.

Des temps ludiques pour les jeunes lycéens/étudiants.

Des messes animées par des jeunes.

Des rencontres intergénérationnelles :  sans être directifs, les plus anciens peuvent partager leur expérience aussi, leur parcours, pour aider les jeunes.

Favoriser une lecture par des jeunes pendant la messe. 

En plus des échanges sur la vie quotidienne entre jeunes, et des prières (louanges…), des formations (bibliques ou autres) pour les jeunes !

Des pèlerinages entre jeunes (pour éprouver la solidarité, la fraternité).

Une participation à la chorale des jeunes !

Pendant les homélies, prendre mieux en compte comment les enfants voient l’Evangile, faire des interactions entre le niveau des adultes et des enfants.

 

Les enfants aussi s’expriment :

– une chorale d’enfants, des enfants de chœur

– des activités pour enfants, peut-être des méditations

– des jeux cathos ?

– aller aider des personnes handicapées.

 

Après nos échanges, voici les réflexions de Spera :

Ce que je note, c’est que les demandes que nous jeunes avions faites se ressemblent mais divergent en même temps selon les tranches d’âges.

Nous n’avons pas forcement les mêmes envies ou ne vivons pas les même réalités. Il y a des jeunes travailleurs, des jeunes étudiants, des collégiens etc. Et nos centres d’intérêt peuvent être très diversifiés.  Je pense qu’il serait bien de prendre en compte cette différence, mais arriver à nous réunir pour que les plus jeunes ne sentent pas délaisser.

Le thème de la solitude n’a pas été énoncé mais dans le groupe où j’étais une jeune fille en a parlé brièvement. Elle a fait comprendre au groupe son désir de faire de plus en plus de « connaissances » et de discuter de la vie d’étudiante.

1. L’un des thèmes que j’envisagerais est celui du divertissement. Je pense qu’il y a un manque d’un peu de folie (rires) …

En divertissement je mettrai : les soirées de louanges, les jeux cathos (c’est quoi les jeux cathos ?), chants, danses etc..

2. Ensuite vient celui du service. J’en sortirai deux formes de services.

  • Celui qui vise l’extérieur : Je pense qu’il serait bien qu’on mène de temps en temps des actions sociales. Pourquoi pas dans le secteur de l’église de st Paul. On peut décider de s’engager dans une action qui nous touche particulièrement (aider les personnes handicapées, visite des malades etc.)
  • Celui qui vise l’intérieur (cad notre église) : les plus jeunes désireraient être servant de messes, avoir une chorales d’enfants, être lecteur etc.

J’ai pensé au faite de permettre aux parents désirant que leur jeunes puissent lire l’évangile de les inscrire au groupes de lecteurs. Cela n’existe pas encore mais on peut le mettre en place. Ainsi les personnes lisant ne seront pas choisi au hasard (sauf en cas d’imprévus). Ils viendront je ne sais pas peut être un samedi pour une petite préparation pour la lecture du dimanche. Ainsi on aura des jeunes plus alaise le dimanche pour lire, a haute voix etc.…

 J’ai aussi remarqué dans les discutions que nous jeunes on avait envie de sortir un peu de notre quotidien. Voir autre chose tout en vivant notre foi. En parlant avec Gorgia elle a aussi souligné le point qu’elle avait du mal à partager sa foi dans sa vie de tous les jours (un sentiment que je partage aussi) (par exple le mercredi des cendres mes responsables et moi étions obligée d’effacer le signe de la croix avant de retourner au cabinet pour ne pas heurter notre manager qui est athée.).

Un thème rencontres (rencontre de l’autre en tant qu’homme et femme pour rencontrer Dieu)

Et puis, faire des sorties de pèlerinages, des sorties entre jeunes chrétiens, les temps ludiques entre jeunes

Dimanche 13 mars

Ce dimanche, nous abordons à nouveau le thème « Jeunes dans la communauté »

Rappelons ce que Spera a retenu de nos échanges du dimanche précédent.

Ce que je note, c’est que les demandes que nous jeunes avions faites se ressemblent mais divergent en même temps selon les tranches d’âges.

Nous n’avons pas forcement les mêmes envies ou ne vivons pas les même réalités. Il y a des jeunes travailleurs, des jeunes étudiants, des collégiens etc. Et nos centres d’intérêt peuvent être très diversifiés.  Je pense qu’il serait bien de prendre en compte cette différence, mais arriver à nous réunir pour que les plus jeunes ne sentent pas délaisser.

Le thème de la solitude n’a pas été énoncé mais dans le groupe où j’étais une jeune fille en a parlé brièvement. Elle a fait comprendre au groupe son désir de faire de plus en plus de « connaissances » et de discuter de la vie d’étudiante.

1. L’un des thèmes que j’envisagerais est celui du divertissement. Je pense qu’il y a un manque d’un peu de folie (rires) …

En divertissement je mettrai : les soirées de louanges, les jeux cathos (c’est quoi les jeux cathos ?), chants, danses etc..

2. Ensuite vient celui du service. J’en sortirai deux formes de services.

  • Celui qui vise l’extérieur : Je pense qu’il serait bien qu’on mène de temps en temps des actions sociales. Pourquoi pas dans le secteur de l’église de st Paul. On peut décider de s’engager dans une action qui nous touche particulièrement (aider les personnes handicapées, visite des malades etc.)
  • Celui qui vise l’intérieur (cad notre église) : les plus jeunes désireraient être servant de messes, avoir une chorales d’enfants, être lecteur etc.

J’ai pensé au faite de permettre aux parents désirant que leur jeunes puissent lire l’évangile de les inscrire au groupes de lecteurs. Cela n’existe pas encore mais on peut le mettre en place. Ainsi les personnes lisant ne seront pas choisi au hasard (sauf en cas d’imprévus). Ils viendront je ne sais pas peut être un samedi pour une petite préparation pour la lecture du dimanche. Ainsi on aura des jeunes plus alaise le dimanche pour lire, a haute voix etc.…

 

J’ai aussi remarqué dans les discutions que nous jeunes on avait envie de sortir un peu de notre quotidien. Voir autre chose tout en vivant notre foi. En parlant avec Gorgia elle a aussi souligné le point qu’elle avait du mal à partager sa foi dans sa vie de tous les jours (un sentiment que je partage aussi) (par exple le mercredi des cendres mes responsables et moi étions obligée d’effacer le signe de la croix avant de retourner au cabinet pour ne pas heurter notre manager qui est athée.).

Un thème rencontres (rencontre de l’autre en tant qu’homme et femme pour rencontrer Dieu)

Et puis, faire des sorties de pèlerinages, des sorties entre jeunes chrétiens, les temps ludiques entre jeunes.

 

A partir de ces réflexions, nous échangeons tous ensemble :

Mylène introduit l’intervention de Spera (ci-dessus) : la démarche synodale, c’est aussi se rendre attentif à ce que vivent les uns et les autres.

 

Mylène ouvre la discussion avec l’assemblée en repartant des pistes proposées la semaine précédente : en quoi peuvent-elles aider les jeunes ? Et comment les personnes plus « expérimentées » se positionnent-elles ? Qui est partant pour quoi ? (Faut-il faire un vote ?)

 

Intervention de Pauline, qui participe depuis peu aux célébrations du dimanche à Saint Paul. Elle nous partage une expérience communautaire avec la Communauté de l’Emmanuel : on a besoin de la dimension communautaire pour faite grandir notre foi. Elle est elle-même en demande de rencontres : groupe de prière, temps de convivialité pour créer du lien…

 

Intervention de Sybella : elle se dit également partante pour se retrouver à plusieurs pour échanger.

Elle nous partage sa préoccupation en direction des plus petits : comment les aider à garder la foi ?

 

Intervention de Line : souhait d’un groupe de prière chez les jeunes, car on se sent isolé. Besoin de se retrouver avec d’autres… Car dans les études (ou au travail ?) on est entouré de gens qui ne croient pas forcément. Pour rester accroché à la foi, c’est plus simple si on est en groupe de jeunes.

 

Intervention de Juan : il interpelle les personnes un peu « matures » / expérimentées car on aurait peut-être besoin de quelqu’un pour fédérer, aider les jeunes à faire le premier pas. Le plus difficile étant de démarrer : fixer un jour, une heure… Et il confirme que, pour des jeunes, la période traversée conduit à des situations de solitude qui peuvent être lourdes.

 

Intervention de Marie : elle souligne l’importance de soigner l’accueil des nouveaux dans la communauté. Peut-être faudrait-il qu’une ou plusieurs personnes aient cette responsabilité particulière d’identifier les nouveaux visages et d’engager la conversation ? Ce serait un début…

 

Mylène conclue ce temps d’échanges en soulignant que la discussion peut se poursuivre sous une autre forme. Si des personnes sont intéressées par telle ou telle proposition, elles peuvent par exemple se rapprocher de Mylène et de Spera pour échanger les numéros de téléphone…

 

A noter : à partir de ce dimanche, un groupe des jeunes de Saint Paul se constitue, qui communique par What’sApp et qui se réunit environ une fois par mois.

Dimanche 1er mai

Ce dimanche, nous abordons un thème que nous avions décidé de traiter :

L’Eglise est-elle malade ?

D’abord, nous écouter.

Les abus sexuels, de quoi s’agit-il ? 
Qu’est-ce que cela nous a fait d’apprendre ces faits ? quels sont nos sentiments ? 
Y a-t-il d’autres aspects de notre Eglise qui nous peinent ?

Ensuite réfléchir
Que voulons-nous que notre Eglise fasse, envers les victimes, et par rapport à elle-même ? Et nous ici à St Paul ? Quelles bonnes pratiques envers les enfants ? 
quels changements nous pouvons essayer ? 

 

Voici le compte-rendu de nos échanges sur le premier temps, ce dimanche 1er mai.

Juan introduit le thème : « l’Eglise est-elle malade ? »
Il souligne l’importance de ne pas ajouter de la souffrance à la souffrance pour les personnes qui ont subi les agissements de criminels pédophiles.
Il rappelle le contexte (médiatisation de scandales relatifs à la pédophilie dans l’Eglise comme ailleurs dans la société) et les révélations du rapport Sauvé.
Face à cela, nous avons pu être troublés. Quel a été notre ressenti face à ce qui est apparu et qui était caché ? Et face au comportement de nos communautés devant ces violences ? Comment avons-nous vécu intérieurement cela
?

Après un temps de réflexion silencieuse puis de partage en petits groupes, la parole est donnée à ceux qui souhaitent exprimer un point de vue :
– Quelqu’un exprime un ressenti de mal-être. Et d’insécurité (chance de ne pas avoir croisé la route d’un prédateur pédophile).
Une suspicion de développe vis-à-vis des professionnels qui sont au contact avec des enfants ou avec des jeunes.

– Quelqu’un est en attente de savoir ce qui a été fait par l’Eglise pour éviter ces situations d’abus ? Il exprime le souhait que les coupables soient jugés « et qu’on les vire ».

– Qqn dit avoir du mal à faire confiance à l’Eglise après ce qui s’est passé. Mal à l’aise avec la place qu’a tenue l’Eglise toutes ces années (son silence ?). Qu’est-ce que l’Eglise va mettre en oeuvre pour empêcher que perdurent de telles tragédies ?

– Il ne faut pas idolâtrer les religieux, les prêtres… On ne doit pas renoncer à toute vigilance au motif que ce seraient des « saints hommes ». Pour que les choses avances dans le bon sens, c’est de notre responsabilité à tous : c’est à nous tous de nous retrousser les manches, de donner des idées…

– Face à des athées qui se trouvent confortés dans une vision très négative de l’Eglise, nous nous trouvons démunis nous, chrétiens, lorsque nous sommes pris à partie au sujet de la pédophilie dans l’Eglise. Que faire ? On ne peut pas démentir… C’est compliqué de faire face.
Quelles réponses donner aux personnes de l’extérieur ?
Besoin d’y voir plus clair sur les actions mises en place par l’Eglise pour combattre ces problèmes.

– Une personne dit n’avoir pas été étonnée par les révélations récentes, car très tôt elle a été alertée sur des actes perpétrés dans son pays par des prêtres étrangers. Jésus est la tête de l’Eglise et nous en sommes le corps. Or, nous sommes tous pécheurs, y compris les prêtres : il y a des saints en devenir mais le fait d’être prêtre ne fait pas d’un homme un saint.
Cette personne exprime un sentiment de compassion, d’abord envers les victimes mais aussi pour les prêtres qui ont commis des crimes.
On peut porter ces personnes dans la prière et demander au Seigneur pourquoi tout cela casse-t-il l’Eglise ? Que ferait Jésus à notre place ?
Beaucoup de choses doivent changer et cela passera par nous les laïcs : on doit pousser les portes, demander des comptes aux évêques, aux cardinaux… Intenter des actions en justice contre les prêtres pédophiles. Faire que ça change.

Dimanche 8 mai

Ce dimanche, nous reprenons notre réflexion sur le thème :

L’Eglise est-elle malade ?

D’abord, nous écouter.

Les abus sexuels, de quoi s’agit-il ?
Qu’est-ce que cela nous a fait d’apprendre ces faits ? quels sont nos sentiments ?
Y a-t-il d’autres aspects de notre Eglise qui nous peinent ?

Ensuite réfléchir
Que voulons-nous que notre Eglise fasse, envers les victimes, et par rapport à elle-même ? Et nous ici à St Paul ? Quelles bonnes pratiques envers les enfants ?
quels changements nous pouvons essayer ?

 

Juan introduit la séance

Après nous être exprimés dimanche dernier sur les révélations du rapport Sauvé et le scandale des crimes pédophiles dans l’Eglise, il s’agit aujourd’hui de nous interroger sur ce qu’il convient de faire pour que notre Eglise devienne davantage une maison sûre. Comment mieux protéger les enfants, les personnes vulnérables ? Comment avancer dans le bon sens ?
Juan informe brièvement l’assemblée sur la mise en œuvre de certaines recommandations de la CIASE, par la Conférence des Evêques de France comme par la Conférence des religieux et religieuses de France. Il s’agit de poser des gestes en direction des victimes (souci de reconnaissance, d’accompagnement et de réparation) mais également de prendre des mesures à titre préventif, en tirant les enseignements des erreurs commises par le passé.
Et nous, que souhaitons pour notre Eglise ? Au niveau universel, diocésain, local ?
On peut réfléchir notamment au cléricalisme – le pape nous y encourage – à la façon dont s’exerce l’autorité dans l’Eglise à tous les niveaux, notamment à la place des femmes dans une Eglise gouvernée par des hommes… On peut aussi réfléchir aux bonnes pratiques, et même à des détails très concrets (ici à Saint Paul, les espaces ouverts, la transparence des portes des bureaux sont de bonnes choses…).

Des petits groupes se forment pour discuter. Des idées sont mises par écrit (petits papiers) :
– Il faut d’abord soulager les victimes et les aider pour l’avenir.
– Plus d’indulgence pour les victimes.
– Faire plus attention au suivi psychologique des victimes.
– Mettre en place une cellule d’écoute au sein de chaque église.

– Penser aussi aux personnes qui ont fait ces choses : ce sont aussi des êtres humains.
– Plus de compassion pour les agresseurs.
– Accepter de faire une thérapie.
– Des personnes charismatiques (André Gouzes, Jean Vanier…) s’avèrent avoir abusé d’autres personnes. Comment prendre acte que ces personnes « spéciales » à qui on accorde des dérogations (…) devraient être plus suivies, accompagnées ? Quelle vigilance à leur égard malgré/à cause de la fascination ?
– Désigner un agent pour surveiller.
– Condamner plus fermement les personnes accusées de pédophilie.
– Rome s’avère avoir de la sagesse quand elle visite des lieux douteux… Parfois la magouille locale prend le dessus. Comment laisser cette autorité s’exercer mieux : des laïcs ?

– Quatre groupes recommandent un (meilleur) suivi psychologique pour aider les prêtres, les religieuses…

– Il faut de la formation sans tabous.
– Veiller à une meilleure formation.
– Ce serait bien de former des intervenants laïcs aux bon gestes, à la vigilance sur les agissements pédophiles et d’organiser des rencontres régulières pour échanger sur les bonnes pratiques et rester en éveil.
– Souhait d’une formation pour les personnes amenées à travailler avec des enfants.
– Besoin de plus d’ouverture, d’une feuille de route pour contrôler tout ça.
– Quelqu’un souhaite qu’on ait plus d’information sur le comportement, les attitudes à tenir.
– Pour les confessions, privilégier des lieux ouverts, avec des rideaux transparents.
– Un prêtre ne doit pas tenir seul un groupe de catéchisme. Avoir un accompagnateur.
– Mettre en place des pratiques d’accueil de jeunes qui soient plus protectrices (mixité des accueillants).
– Rôle des parents : ils doivent veiller sur les enfants ; il faut faire de la prévention, sensibiliser les parents, les enfants.
– Besoin de plus d’ouverture, d’une feuille de route pour contrôler tout ça.

– Souhait d’une Eglise plus inclusive.
– Mieux discerner les vocations.
– Promouvoir la coresponsabilité dans les communautés : l’autorité ne doit pas reposer sur les seules épaules des prêtres, des clercs.
– Il faut responsabiliser les laïcs.
– Manque de formation pour les laïcs.
– Sortir de l’entre-soi masculin.
– Ce serait bien d’accepter des femmes diacres.
– Donner d’autres missions aux femmes (diacres).
– Ordonner des femmes prêtres.
– Ouvrir le débat sur le célibat des prêtres.
– Une réforme du clergé : mariage des prêtres. Arrêter l’hypocrisie.
– Une demande de transparence dans la communication.
– Souhait d’une Eglise moins secrète, moins dogmatique et plus ouverte sur les réalités actuelles tout en gardant ses valeurs profondes.

Puis nous reprenons les échanges en grand groupe : plusieurs personnes prennent la parole.
– En Eglise, on doit s’inspirer de pratiques qu’on rencontre dans d’autres lieux : recevoir un jeune ne doit jamais se faire seul, ou il convient de laisser une porte ouverte… Quelques précautions simples suffisent à désamorcer bien des situations à risque.
– Dans des entreprises, on désigne des référents pour veiller à l’écoute, à la bienveillance… En Eglise il pourrait y avoir une tierce personne dans un rôle de médiation… A développer ?
– En bien des lieux où des crimes ont été perpétrés, on réalise après coup que l’« on savait »… Concrètement, que faire en cas de rumeurs, de « on dit » ? Dénoncer ? Etouffer ? Ce n’est pas si simple.
– Quelqu’un exprime sa satisfaction qu’on aborde ce sujet tabou de la pédophilie dans l’Eglise. C’est très bien qu’on en parle. Une autre question serait à soulever : celle du viol des religieuses. De façon générale, dans l’ensemble de la société, les viols sont trop peu condamnés par la justice (moins de 10%).
– Malheureusement, même en prenant toutes les dispositions possibles, on ne parviendra jamais à supprimer à 100% les risques d’abus sexuels. Il y a donc un travail de sensibilisation à mener. Il faut notamment parler aux enfants pour leur expliquer que si quelqu’un subit une agression, ce n’est pas à la victime d’avoir honte. Il faut libérer la parole.
– Quelqu’un recommande aux prêtres de dire « qu’ils ne sont pas dieu », qu’ils peuvent aussi tomber. Les parents ne doivent pas non plus donner à leurs enfants le sentiment que les prêtres sont des Saints, des personnes inaccessibles… Le rayonnement d’un agresseur peut conduire sa victime à se murer dans le silence, à demeurer dans la crainte. Par peur de n’être pas crue…
– Plusieurs personnes insistent sur l’importance de demeurer à l’écoute des enfants. Si on constate un mal-être chez un enfant, il faut aller vers lui, l’aider à s’exprimer.
Les enfants ne connaissent pas toujours leurs droits, ils ne savent pas vers qui se tourner.
– Deux personnes soulignent l’importance d’un accompagnement psychologique des séminaristes. L’Eglise ne doit pas avoir peur de la psychanalyse, des psychothérapies… C’est nécessaire, même si cela a un coût financier. Il faut se préoccuper de ce suivi et de sa prise en charge.

Dimanche 19 juin

Ce dimanche, nous reprenons notre réflexion sur le thème :

Les autres ?

 

Catherine et Antoine ont introduit le thème en le resituant dans l’ensemble du parcours :
En janvier, en réponse à l’appel du pape François, nous avions fait un tour d’horizon des sujets dont nous souhaitions discuter ensemble. Cinq thèmes avaient émergé.
Nous en avons traité trois pour le moment :
o Prier et célébrer, et aussi de façon plus large ce dont notre communauté aurait besoin (pour mieux se connaître…).
o La place des jeunes et des enfants dans la communauté.
o Notre Eglise est-elle malade ? (suite aux révélations sur les abus sexuels).
Il nous reste deux thèmes :
o Celui de l’autorité dans l’Eglise (qu’on traitera à la rentrée).
o Celui des autres (= on commence à y réfléchir aujourd’hui).

A propos du thème « les autres » : Antoine lance les échanges en petits groupes :
En janvier, plusieurs personnes avaient exprimé le souhait d’une plus grande ouverture de notre communauté / de notre maison d’Eglise en direction des personnes qui fréquentent le quartier mais qui ne viennent pas à la messe du dimanche.
Qui sont ces « autres » auxquels nous voulons faire (plus) attention ?
Quel service, quel accueil pouvons-nous leur offrir ?
Quelles initiatives pouvons-nous prendre pour (mieux) les rejoindre ?
Comment pouvons-nous porter ensemble le souci des autres, de façon communautaire ?

Remontée : synthèse des petits papiers (idées qui ont émergé)

Qui sont les « autres » ?
– « Les autres, ce sont toutes les personnes que nous rencontrons ou fréquentons en dehors de l’église (en famille, au travail, dans le quartier, les voisins…). »
– Les non croyants, ceux qui n’ont pas la foi. (2 fois)
– Ceux des autres religions (juifs, musulmans…)
– Les personnes en galère, en difficulté (2 fois).
– Celles qui ont eu par le passé de mauvaises expériences avec l’Eglise.
– Les personnes qui travaillent dans le quartier.
– Des jeunes. En particulier ceux du Corpus Condorcet.
– Les personnes malades, les personnes handicapées, les malades dans les hôpitaux.
– Les réfugiés, les exilés.
– Les sans-abri.
– Les personnes LGBT.
– « On peut dire que les « autres » sont majoritaires par rapport à la communauté de St Paul. On peut dire que la majorité des personnes (dans le quartier) ne sont pas chrétiennes. »

Pistes à mettre en œuvre :
– Prendre soin des personnes en galère dans le secteur de l’Eglise et les inviter, partager avec eux la joie de l’Eglise.
– Visiter les maisons du quartier pour dialoguer, aller vers : avez-vous besoin d’aide de la part des chrétiens du quartier ?
– Visiter les malades.
– Visiter les personnes handicapées ou hospitalisées une fois par semaine.
– Accueillir réfugiés et sans-abris dans l’église.
– Faire du bien avec des associations qui existent pour être présent et témoigner simplement.

– Favoriser les rencontres avec les habitants du quartier (« en deux ans, je ne connais que mon conjoint »).
– Idée d’une présence de la communauté dans les événements sportifs, les événements culturels du quartier.

– Intégrer les personnes de la communauté LGBT pour qu’elles trouvent leur place en Eglise (association David et Jonathan…).

– Comment faire pour qu’à Saint Paul les gens puissent venir sans rapport avec la messe ? Pour un temps de louange…
– Groupe de prière.
– Faire des activités différentes (concerts…), des petites conférences, des dons.
– Faire des activités pour les jeunes.
– Pour les enfants, les familles, idée d’une kermesse.
– Idée d’une journée portes ouvertes, en passant par les réseaux sociaux… On ferait des concerts… Inviter les voisins du quartier en allant à leur rencontre.

– Faire des affiches.
– Distribuer des flyers sur le campus Condorcet.
– Mettre des informations dans les boîtes aux lettres.
– Mettre en place quelque chose devant l’Eglise pour la rendre plus visible.
– Indiquer clairement les heures d’ouverture et de permanence.
– Faire de l’animation (chants…) devant l’église avant la messe.
– Témoigner, parler, expliquer des versets.
– Partager la parole sur les réseaux.
– Rajouter une cloche !!! Pour bien faire savoir à nos habitants que notre église peut accueillir tous ceux qui sont de passage dans le quartier.

 

Pour la suite…
Reprendre ces idées à la rentrée pour s’interroger concrètement sur la faisabilité, les moyens à mettre en œuvre… Qui a envie de s’impliquer dans quoi, concrètement ?
Nous n’avons pas eu le temps de faire connaître les initiatives qui existent déjà. Cela pourra se faire pendant l’étape 2 (à la rentrée, donc).
– Spera : action de solidarité du groupe des jeunes avec l’association Mamama.
– Karine : partenariat avec l’association Foi et Lumière, à propos des dizainiers réalisés par les enfants pendant le Carême…
– Mylène : des nouvelles de Janine ?
NB : Janine est bien membre à part entière de notre communauté. Mais elle fait partie de ceux qui, pour le moment, sont empêchés de venir à l’église en raison de problèmes de santé. Comment notre communauté porte-t-elle le souci de ces personnes malades et isolées ? Comment s’organise-t-on pour les rejoindre et leur témoigner notre sollicitude ?